Verhaeren lit deux de ses poèmes

Une voix du passé, lointaine, qui connut Verlaine et Mallarmé, qui écrivit en même temps qu’eux, vient jusqu’à nous pour prononcer deux pièces de son oeuvre. Un document inestimable : la voix d’un grand poète de la fin du XIXème siècle, Verhaeren qui connut suffisamment le XXème siècle pour rencontrer la naissance de l’enregistrement et dont la voix peut ainsi nous parvenir en se maintenant lointaine, à la fois entière et trouble.

Verhaeren lit son poème, Le Passeur d’eau :

Verhaeren lit son poème, Le Vent :

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