Parution de la 1e partie du Chant cathédral (chants 1 à 40).
La 2e partie (les chants 41 à 100) a été achevée récemment par Maxence Caron et paraîtra dans les prochains mois.
Le Chant cathédral : Poëme épique et perpétuel, (chants 1 à 40), Les Belles Lettres, 2025, 1120 pages
NB : certains libraires en ligne indiquent 650 p., c’est une erreur : pour les détails s’en référer toujours au site de l’éditeur : 1120 p.
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« Je dis le chant nouveau dont la tonalité jusqu’alors introuvable a dépassé le ventre des avenirs humainement déductibles. »
Maxence
Présentation de l’éditeur :
« Avec ses 40 000 versets, Le Chant cathédral est le plus long poème jamais écrit par un homme seul. Dans cette épopée qui est à la fois celle de l’humanité, du sacré, de l’histoire, de l’Ultime, et du langage creusant en un style illimité la profondeur de son propre mystère, Maxence Caron déploie une œuvre d’art totale. Les quarante premiers chants qui composent ce volume sont répartis en neuf livres (parmi lesquels le Chant de solitude, la Cantate anadyomène, les Symphonies de psaumes…) et font sentir à toutes nos facultés la présence inouïe d’un monde que le bruit du siècle jusqu’alors recouvrait.
Après avoir voulu donner ses fondations définitives à la philosophie en une tétralogie monumentale (publiée aux Belles Lettres entre 2018 et 2023), l’auteur peut laisser le Poëme s’épanouir comme la vocation qui se joint à la source même de la pensée. Ne requérant du lecteur aucune initiation, la poésie occupe la plus haute place : si la Philosophie dévoile en effet le lieu de la Vérité, le Poëme, lui, habite ce lieu. Lorsque la philosophie découvre l’emplacement du sanctuaire, la poésie y entre pour y vivre. Le Chant cathédral vit ainsi dans cet excès de grâce que sa parole trouve, ce pourquoi ce grand Poëme qui se fond en un souffle qu’on n’avait plus entendu depuis les origines, est affaire de « trouveurs » – ou, disait-on jadis, de « trouvères ». Par la force de son style et sa richesse instauratrice, par cette puissance verbale en incessant renouvellement, Le Chant cathédral est œuvre de l’ivresse dont vit, par-delà le temps, la vocation d’un « trouveur » consacré.
D’une vertigineuse créativité, Maxence Caron est l’un des grands stylistes de notre langue. Tout à la fois lyrique et colérique, affectueux et pamphlétaire, prévenant et altier, il sait aussi bien manier l’ironie et le sublime : sachant jouer de tous les registres émotionnels et tenant en main tous les instruments de musique, il invente ici une poésie orchestraleque l’on n’a jamais vue. Une renaissance littéraire s’y accomplit, dans la victoire du verbe. »
Sur le site des Belles Lettres
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