Pour aller à l’essentiel et se purger de toute « rentrée » soi-disant « littéraire » on pourra tirer profit de la réédition de L’Insolent. Depuis sa parution, ce roman valut à son auteur le privilège, l’honneur et l’avantage de voir autour de lui s’installer « la conspiration du silence » journalistique, donc de n’entendre pratiquement plus aucun imbécile parler de son travail : un plaisir rare et que savent goûter les gourmets.
L’Insolent ou L’Alceste réconcilié, 612 p., NiL, 2012, rééd. 2017