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Maxence Caron parle de Muray au Journal des Arts d’Aude de Kerros, fin 2011
Dans des vers qui n’ont rien à envier à ce que la littérature française a produit de meilleur, Maxence Caron vient de publier « Le Chant du Veilleur »[1] qui exalte la gloire de Dieu en faisant découvrir par la Voie de Vérité du Verbe la Substance au-dessus des Cieux ainsi que l’Infinité qui est en l’homme, « la pensée, la réflexivité fractale dont sourd toute conscience et qui prend issue de Transcendance, la liberté, de Dieu l’image. »
C’est ainsi que le Veilleur, « à l’heure où on prend son pot de chambre pour un océan », proclame l’Indicible, la Substance devers l’homme, qui dit seule à vrai « Je suis », Dieu, la Différence infinie, l’Amour sans limites. Et le poète atteste avec gratitude : « Tu fus, Tu seras, Tu es de toute pensée l’Initiateur vers Toi » ; et encore : « j’ai libéré la pensée, j’ai démasqué l’engeance spéculatoire qui fait captive la Vérité et d’un mouvement contraire, en retour se rend captive en agressant le propre fond de l’âme régie par la quintessence trinitaire ». Continuer à lire « « Le Chant du Veilleur », par Jean-Jacques Flammang : « A propos du grand Poëme Symphonique de Maxence Caron » »
À l’occasion de la sortie de son livre La Vérité captive – De la philosophie, publié aux Editions du Cerf, Maxence Caron est l’invité d’Aude de Kerros afin d’évoquer ce que ce « Système nouveau de la philosophie et de son histoire » apporte à la réflexion sur l’art en général et sur l’art contemporain en particulier. Entretien sur les relations de l’art, de la littérature et de la philosophie sous le regard d’un même effort de la pensée vers la Vérité à laquelle l’homme est convoqué.
Émission radiodiffusée le 12 novembre 2009